Evaluer cet article Je dois tout à mon père avant qu’à ma maîtresse: Que je meure au combat, ou meure de tristesse, Je rendrai mon sang pur comme je l’ai reçu. Le Cid. Pierre Corneille A Lire AussiPoèmes éphémèresPour le petit déjeuner, je prendsUn journal a écrit que ceL’instant qui vient peutLa marche devientLe manteau de la vérité est souvent doublé2 voisins discutent : – Je suis désolé, ma poule vientA la Toussaint le froid revient et met l’hiver C’est une petite fille qui se promène dansEntre le riche et le pauvre, entre le maître et le serviteur, c’est PARTAGER