Evaluer cet article Je dis “vous” à mon impressario. Avec l’argent qu’il me prend, j’ai toujours cru qu’ils étaient deux. Thierry Le Luron A Lire AussiAir des Trois couleursImagine la brumeVu les tremblements de terre queLe jour du jugementSa facile humeur, laOn ne méprise pas tous ceuxQuand juillet commencera, –La richesse est comme les poils du nez : si on en arrache beaucoup, L’espace à soi pareil qu’il s’accroisse ou se nie . L’avenir n’existe qu’au présent. PARTAGER