Evaluer cet article Je dis “vous” à mon impressario. Avec l’argent qu’il me prend, j’ai toujours cru qu’ils étaient deux. Thierry Le Luron A Lire AussiLa queue c’est fémininHélas ! je sors d’un malLa conscience n’est dans leQuand en avril il tonneLa fille des flammesJ’espère qu’il ne va pas pleuvoir aujourd’hui, dit A la télévision, tout mot doit être utile.Pluie de saint-Médard, tarit le vin et coupeIl ne faut jamais se reposer sur ses lauriers : ceJ’ai besoin des saisons pour vivre au rythme de la pluie et PARTAGER