Evaluer cet article Je demeure immobile et mon âme abattue Cède au coup qui la tue. Le Cid. Pierre Corneille A Lire AussiEtre femme est terriblement malaisé, puisque cela consisteLa réputation de la côte de boeuf estPlus grosse est la ficelle,S’il neige à la sainte-Sylvie, le paysan rit.Certes, je veux bien allerLa patience est belle.Fête foraineLa magie de l’amour, c’est qu’il rend beau,Entre la logique de laUn homme qui ne marche pas ne laisse PARTAGER