Evaluer cet article J’attends trop souvent que la phrase ait achevé de se former en moi, pour l’écrire. Journal 1889-1939, 4 juin 1930. André Gide A Lire AussiQuand je pense à tous lesLa fable et la véritéPour la saint-Martin il y a de la neige jusqu’àLe souvenir des bienfaitsDe midi à une heure c’est le coeur Notre vanité ne vieillitfait demain se que tu peutLe mariage est un lourd fardeauC’est deux fous, un qui s’apelle Pète pis l’autre qui s’apelle Répète Qui a mis de l’image dans la nuit? Le PARTAGER