Evaluer cet article J’appelle rêveries Ce qu’en d’autres qu’un maître on nomme menteries. Le Menteur. Pierre Corneille A Lire AussiQuand lasse de toutPourquoi essayer de faire semblantQuel jour sommes-nousQuand il pleut à l’Ascension, les blés dépérissent jusqu’àComme le marinier, que le cruel orageLe caractère naturel de l’amour– Tiens, Roger tu n’aurais pas uneL’homme est né pour penserEtre pauvre n’est pasLa peur ne peut se passer de PARTAGER