Evaluer cet article J’ai souhaité l’empire et j’y suis parvenu. Cinna, ou La clémence d’Auguste. Pierre Corneille A Lire AussiOù finit la paresse, oùIl n’y a que d’un fils qu’onQui creuse une fosse pourNe vous croyezAoût, Août change toute laJ’ai toujours aimé courirJe me dis qu’il s’agitEst-ce que vous savez ceBonne est la neige qui tombe à saLe poète, l’artiste, l’écrivain n’est trop souvent que celui qui sait rendre: PARTAGER