Evaluer cet article J’ai souhaité l’empire et j’y suis parvenu. Cinna, ou La clémence d’Auguste. Pierre Corneille A Lire AussiDans vos bréviairesLe bonheur est un seul bouquetLes colons se trouvaient alors àQuand la perte est vengée,Les critiques jugent lesTu dois nourrir ta vie.L’effort vers la connaissanceUn gamin dit à un marchand de fruits Pluie aux Rois, blé jusqu’au toit et dans les tonneaux du vin à Femmes, c’est vous qui tenez entre vos mains le salut du PARTAGER