Evaluer cet article J’ai peine à croire à l’innocence des êtres qui voyagent seuls. Journal. François Mauriac A Lire AussiUn tel n’a visiblement rien à dire, mais, chose pire, ce rien il l’écritLes frelons ne sucent pas le sang desDieu est toujours dans le camp de ceux quiIl ne faut pas compter lesCe serait beauFermez les portes Les hérésies sont la grandeJe n’éprouve aucun besoin d’unifier le mondeUne ondée ensoleillée n’a pas la moindre durée et retient à la demeure au La vie se divise en deux PARTAGER