Evaluer cet article Il est bon de suivre sa pente pourvu que ce soit en montant. Les Faux-Monnayeurs écrit en 1925. André Gide A Lire AussiC’est embêtantJ’étais si nerveux que, sousAh ! Jeunesse l’homme ne la possèdeIl y a trois sortesSi les femmes s’occupaientToutes les images sont desElle a un regard qui feraitRien n’est plus contradictoireLe Paris que vous aimâtes N’est pas celui que nous aimons Et nousVous cherchez le bonheur, pauvres fous? Passez votre chemin: le bonheur PARTAGER