Evaluer cet article Il est aussi naturel à celui qui emprunte à autrui sa pensée d’en cacher la source, qu’à celui qui retrouve en autrui sa pensée, de proclamer cette rencontre. Journal 1889-1939, juin 1927. André Gide A Lire AussiLe flinguer comme ça de sang froidCelui qui chante n’a pas des mauvaises pensées.A la Saint-Claude, regardeRobert, comme un jeune chat,A Londres, un banquier de la City, très élégant avec Combien de gens meurent avant d’avoir fait leLe remords, c’est le coup de pied deOn ne peut se cacherLe nu est la sincérité du corps:Quelle est la difference entre un éléphant et une PARTAGER