Espace exquis que cette pièce abandonnée
Mansarde sombre et mystérieuse du passé
Ou se retrouvent apprivoisées de vieilles histoires
D’enfants sérieux qui se construisaient dans le noir
Mansarde sombre et mystérieuse du passé
Ou se retrouvent apprivoisées de vieilles histoires
D’enfants sérieux qui se construisaient dans le noir
Et là, cachés, fantômes objets, vieillards sans âges
Dorment si fort qu’ils en soupirent dans ma mémoire
Espérant que les feuilles sèche tombent encore
Disparaissant du souvenir de mon miroir
Et la poussière posée sur ces formes naïves,
Veillant sur malles noires, ombrés de rêve morts
depuis longtemps éteint l’heure, l’air de ce grenier
Couvrant le temps, étoles sombre nuit lascive
D’un matin, perdu sans cesse, qui cherche encore
Quelque part sur l’autre rive, le soleil couché
Nao