Et on a bien compris que le corps
de la femme comme marchandise
est une abomination.
On le sait tous ça !
Mais le corps du malheureux pitoyable
qui erre dans les rues ou qui reste 3h
n’est pas brillant non plus.
Alors tout ça c’est assez complexe.
Propos sur la prostitution
Vie privée vie publique, France 3, 10 juillet 2007
Fabrice Luchini