Située devant moi, assise sur un banc.
J’admire au loin, au reflet de l’étang
Ses soigneuses mains, avec retenues.
Qui rare parfois, nous est convenues.
J’admire au loin, au reflet de l’étang
Ses soigneuses mains, avec retenues.
Qui rare parfois, nous est convenues.
Ces mains d’insolente délicatesse,
Lui offre un statut de princesse.
Mes vices surgissent a la surface
Lorsque mes douceurs prennent place.
Mon rêve aurait été que de ces mains
Si froides, elles glacent mon torse brûlant.
Que ce plaisir charnelle dure si longtemps…
Mais, de l’autre côté, d’un immense lac.
Assis sur l’herbe mouillé, je l’observé
Comme un mirage que l’étang reflétait