enfermé, chez moi
mes idées défiles,
comme les nuages à ma fenêtre
je pense à toi je nous imagines,
si proches que nous pourrions
nous toucher pour le moment
tu es la lune, que j’admire
et ne peut toucher
car cette fenetre reste close
mes cris ricochent,
et me perce le coeur
je n’en peux plus,
ma chaise s’éclate contre se mur
mais il ne se passe rien,
j’ai mal au coeur et au corps
mes poings ricoche sur
les murs de cette forteresse
qui jamais ne pliera,
j’ai peur, viens ma douce
la solitude m’ecrase,
je rêve de nous hors de ces capitons
car ma folie n’a qu’un nom amour…
mes idées défiles,
comme les nuages à ma fenêtre
je pense à toi je nous imagines,
si proches que nous pourrions
nous toucher pour le moment
tu es la lune, que j’admire
et ne peut toucher
car cette fenetre reste close
mes cris ricochent,
et me perce le coeur
je n’en peux plus,
ma chaise s’éclate contre se mur
mais il ne se passe rien,
j’ai mal au coeur et au corps
mes poings ricoche sur
les murs de cette forteresse
qui jamais ne pliera,
j’ai peur, viens ma douce
la solitude m’ecrase,
je rêve de nous hors de ces capitons
car ma folie n’a qu’un nom amour…
B.guin