Evaluer cet article Disposez de sa main, et pour première loi, Madame, ordonnez-lui d’abaisser l’oeil sur moi. Tite et Bérénice. Pierre Corneille A Lire AussiRiquet à la houppeLe poète est celui qui voitJe songe que la nouvelle est bien prèsChapitre XXIII: Le rendez-vousJe m’appelle MorphéePresque tous les hommes savent gagner de l’argent, mais il n’yLa vie est une questionLa rose flamandeLes riches d’aujourd’hui, c’est comme les fromages trop faits, ça ne sait plus garderL’homme est un éternel enfant PARTAGER