Evaluer cet article Dieu modeste n’ose pas se vanter d’avoir créé le monde. Journal 3 septembre 1906. Jules Renard A Lire AussiN’est malheureux que celui qui ne sait pasA Saint-Antoine grandeOn peut à la jeunesseVeni, vidi, vixiLe souvenir qu’on vous porte vaut mieux que le présent luiQu’est-ce apparemment que laEn factionUn roi soupire-t-il, c’est tout unPar la caresse nous sortons deSouvent à la saint-Lazare le froid gagne, où file PARTAGER