Devant moi, ah ! que toute chose s’irise; que toute beauté se revête et se diapre de mon amour.
Les Nourritures terrestres écrit en 1897. André Gide
Devant moi, ah ! que toute chose s’irise; que toute beauté se revête et se diapre de mon amour.
Les Nourritures terrestres écrit en 1897. André Gide