Evaluer cet article Deux hommes qui ne se connaissent pas sont capables par amour-propre de passer l’un à côté de l’autre dans un désert sans se saluer. Extrait de son Journal 1893-1898. Jules Renard A Lire AussiA la Saint-Augustin, – LeLorsqu’une idée règne, elle se trompe ; lorsqu’elle gouverne, deL’esprit de famille a renduPuisque nous en sommes à cetteSe cacher la têteTop, dont la portion avait étéLa honte de ton parent estCelui qui a beaucoup voyagé en sait autant que celui quiJe me rappelle ce dégel de toutAppelons la femme un bel PARTAGER