Evaluer cet article De sa mère on sèvre l’enfant par du riz; de sa mère on sèvre la jeune fille par un mari. Un proverbe indien A Lire AussiComplainte de vincent à paul eluardLa mémoire rend les êtres et les lieuxÉpitaphe d’un amiCe qui est dans les grandsJe ne serais satisfaite que lorsque lesPeut-être y eut-il aussi en ceUn accusé est cuitLes enfants c’est comme les annéesLa maison solitaireS’il pleut au premier jour de mai, peu de coings. S’il pleut le deux, PARTAGER