Le chat ne frotte plus son dos.
En les ramages des rideaux
On n' entend plus d' essaim qui grouille.
Dans l' âtre pleins de noirs tisons,
Eteintes sont les flammes roses ;
Et seuls hurlent les vents moroses,
Les vents des vilaines saisons.
Le chat ne frotte plus son dos.
En les ramages des rideaux
On n' entend plus d' essaim qui grouille.
Dans l' âtre pleins de noirs tisons,
Eteintes sont les flammes roses ;
Et seuls hurlent les vents moroses,
Les vents des vilaines saisons.