Evaluer cet article Cette désoccupation de la pensée m’est pénible. Journal 1889-1939. André Gide A Lire AussiPendant sa partie de bridge au club des aînés, Berthe se Etre dans le doute, c’est déjà êtreEcrire est toujours un don de soi àAvec une volontéPluie à grands abats bien vite s’abat.Les charmes de la jeunessePour qu’il y ait du chomâgeLa télé comme l’excitant et le valium duTaille au jour deL’âge n’est rien d’autre PARTAGER