Evaluer cet article C’était une de ces tristes rues de province, sans magasin, sans animation d’aucune sorte, ni caractère, ni agrément. Si le grain ne meurt écrit en 1926. André Gide A Lire AussiL’hyver des AlpesSur mes seize ans je passai, à la diableLe pessimiste ? Un homme qui enQui chérit son erreur ne la Un coq à Quand saint-Marc n’est pas beau, pas fruits à Plante tes pois aux jours sans R, il n’y auraQuand les pigeons sont perchés, la pluie est Il n’est rien que le temps n’enseigne enMieux vaut blâmer ses propres fautes que celles PARTAGER