Evaluer cet article C’est presque toujours par vanité qu’on montre ses limites, en cherchant à les dépasser… Journal 1889-1939, 27 juillet 1922. André Gide A Lire AussiL’amour par terreUne femmeEt qu’enfin la clémence estEt voilà maintenant,Komsunun tavugu komsuya kazC’est bon de ne pas regarderEtre heureuxIl a été donné à la volonté deChacun vaut ce que valent lesLes doigts à l’ouvrage et les yeux aux PARTAGER