Ce que j’admire le plus, chez Valéry, c’est peut-être bien sa constance. Incapable de vraie sympathie, il n’a jamais laissé briser sa ligne, ne s’est jamais laissé distraire de soi par autrui.
Journal 1889-1939, 8 mai 1927. André Gide
Ce que j’admire le plus, chez Valéry, c’est peut-être bien sa constance. Incapable de vraie sympathie, il n’a jamais laissé briser sa ligne, ne s’est jamais laissé distraire de soi par autrui.
Journal 1889-1939, 8 mai 1927. André Gide