Evaluer cet article Ce monarque étonné à ses frayeurs déjà s’était abandonné. Nicomède. Pierre Corneille A Lire AussiL’ÉmeuteSi tu veux comprendre le mot de bonheurA ce que je puis voir, vousQui ne doute pas acquiertAprès sept heures, enLes soucis enlaidissent,Je traite avec bonté ceuxIl ne faut plus croire aux dieux, si l’injustice doit triompherFrazier est tellement mocheIl faut distinguer le réel, et la représentation du PARTAGER