Ce conte, il aurait pu
simplement me le conter, il le
savait par coeur, moi aussi,
mais cela ne m’aurait pas
calmé, il devait me le lire,
soir après soir, ou faire
semblant de me le lire, en
tournant les pages et en
m’expliquant les images.
Nouvelles et textes pour rien –
1955
Une citation de Samuel Beckett