Evaluer cet article Ce coeur impitoyable à ma perte s’obstine, et dit qu’il m’aime encore alors qu’il m’assassine. Horace. Pierre Corneille A Lire AussiJ’irais bien voir un film avecSaint-Charlemagne, FévrierEclair au levant, nues rouges au ponant, signe deS’il pleut à la saint-Gengoult, les porcs n’auront deNovembre par tous les temps, le bois dans la cheminéeLe théâtre est un prêtre déguisé en femme. À moins queQuand je vois le Christ en croix, les Un homme est heureux tant qu’ilLes Trois FainéantsEn fin juin, vent du soir est bon pour le blé PARTAGER