Cétait un soir dété soupirant dorchidées.
La gare était déserte et riait de lumière
Qui pleuvait en ondée dorée sur la poussière.
Les catleyas vibraient, et mon cSur soupirait.
Je savourais linstant caressant ton visage
En souvenir de feu, je câlinais limage.
Le silence riait de lécho dune aura.
En robe damarante un catleya mourut.
A côté de la fleur, jamais tu napparus,
Et ce soir je suis seule ; songeant au catleya.
Valérie Catty