Chaque jour dans le train
Me tire de ma paresse
Avec délicatesse
Compagnon clandestin
Éphémère et divin
Tissant avec adresse
Un écrin de prouesses
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Je vous conte mes écrits a travers mes vidéos.
J’ai décidé un jour, de prendre un stylo et une feuille histoire de raconter mes histoires.
J’ai longtemps écrit dans l’ombre. Puis un jour je me suis dit ”
Et pourquoi ne pas partager mes textes avec les gens,
peut-être que ça pourrait en aider certains ?”
Alors, me voilà. Certains textes sont fictifs, d’autres non,
à vous de faire la différence.J’espère que vous apprécierez. Passez un bon moment 🙂
Ma chaîne youtube http ►//bit.ly/1Na2WU4
Vidéo de présentation:
Mon premier texte : ” ÊTRE SANS ÂME
Mon deuxième texte : L ABANDON D UN RE-PERE
N’hésitez pas à dire ce vous en pensez. D’autres vidéos arrivent très prochainement.
Pour me retrouver :
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Merci d’avoir pris de votre temps pour moi. A bientôt je l’espère,
Nerwena.
A peine sorti de ce rêve agité, je sens encore sa présence.Cet ange roux au teint si pâle, me donne l’impression d’être épié,
comme-ci elle ne me quittait jamais. Elle était si proche de moi, que je pouvais sentir son inspiration
et son expiration étranges et glacés sur mon cou.
A chaque fois que je ferme les yeux, je perçois la douceur de ces lèvres
qui répandent une saveur particulière sur mon corps. Mon sommeil interrompu, Lire la suite...
Je suis la assise au bord de la mer à admirer ses vagues qui,
dans un éternel va et vient s’écrasent sur les murs du vieux port
nous remplissant les narines d’une odeur d’écume salée.
Le vent fouette les gens, les taquine en leur décoiffant le crâne. Lire la suite...
Transit, tremblant, nouveau né plein de fièvre
Suspens, arrêt, je t’appartiens,
Mirage, chimère, rêve sans fin
Naufragé flottant sur mer nuageuse,
Sans enveloppe, lettre perdu,
Enfant, songe, fin heureuse
Cauchemars, verre fendu.
Entièrement nu et avant de se laver le visage,
Car il hait sa nature, ses vêtements et les anniversaires, il ne voudrait pas savoir son âge,
Alzheimer veut être piano,
Non pas un vieil homme méchant mais piano,
Non pas un grand-père qui attend son petit déjeuner mais piano,
Non pas un grand-père qui attend un coup de fil de sa fille mais piano,
Non pas le chaos mais piano,
Je t’aime de travers.
Maman, quand tu t’en vas,
Je t’aime couci-couça.
Maman, quand tu es de bonne humeur,
Je t’aime de tout mon coeur.
Maman, quand tu me cajoles,
Je t’aime sans parole.
Maman, quand je te dis ce poème,
Comprends tu combien je t’aime ?
Marie Aubinais
Je te réponds par une pirouette!!Nos rêves semblent nourris de nous-mêmes pour vivre en toute liberté leurs propres vibrations;Offrant une parenté avec le principe même de la vie.Qu’est ce qui leur fait signe pour leur apporter tant de plénitude.Les rêves seraient -ils de la matière en mouvement en perpétuelle quête d’équilibre ? Nos racines plongent dans quelque chose de plus puissant.Du rêve à cette réalité palpable ,la frontière semblent si mince.