“Poème inspiré d’une fille qui m’as fait tourner la tête.” J’imagine ta peau contre la mienne, Tes levres contre les miennes. Hier je n’ai penser qu’a toi. J’ai bien réfléchie et je te le dirais quand on sera que tout les deux. Mais je tiens à te dire que tu sera la premiere.
Sii seulement tu étais là Ô mon amour Si tu étais là Je serais peut-être l’homme Le plus heureux au monde
L’odeur du chèvrefeuille, et le manque de toi, La nuit qui tombe doucement, Le vide de tes bras… Je voudrais en l’instant monter vers les étoiles,
Enfant, on vous dira plus tard que le grand-père Vous adorait ; qu’il fit de son mieux sur la terre, Qu’il eut fort peu de joie et beaucoup d’envieux,