Vos poémes
D’infimes particules de lumière, Se posent peu à peu sur toi, Et sans chercher à te plaire, Tu te révèles soudain à moi.
Cette blessure en moi, Ne cicatrise toujours pas, Je la porte tel un fardeau, Et elle me fait défaut. Une peur plus qu’une angoisse,
Peur de moi? Peur de toi? De ce que nous ne sommes pas, Ou de ce que l’on deviendra Si les choses ne s’arrangent pas, Peur de reconnaître,
Quand tu es là, A portée de mes bras, Que tu souris tout bas, Je ne résiste pas. A l’envie de te regarder,
Une étoile dans le ciel me regarde chaque nuit elle me surveille je la reconnais parcqu elle brille plus fort que les autres à mes yeux alors je lui dis ne crois pas que j ai déja oublié parcque je ne pleure plus ! Ne crois pas que j ai tournée la page parcque je…
Je m’assieds parterre Et je regarde en l’air Je ferme les yeux, Et je passe la main dans mes cheveux
REMERCIEMENTS Que reste-t-il de mon enfance, Reflets d’un âge fait d’insouciance, Quand les acteurs du tour de France Dominaient tout avec aisance. Sprinteurs, rouleurs, fins pédaleurs,
REMERCIEMENTS Que reste-t-il de mon enfance, Reflets d’un âge fait d’insouciance, Quand les coureurs du tour de France Enflammaient toutes nos vacances. Sprinteurs, rouleurs, fins pédaleurs, Ces virtuoses du dérailleur, Roulant groupés ou isolés, Nos parts de rêve, exaltaient.
SOIR DE DEFAITE ! Ô rage, ô désespoir, ô suffrages maudits, Que ne me suis-je battu pour un tel résultat. Trahi dans mes espoirs par des censeurs honnis