Une étoile en chacun d’eux,
Une galaxie sur un fond de ciel bleu,
Une Voie Lactée en son regard mystérieux.
Le profond de ses yeux,
Une étoile en chacun d’eux,
Une galaxie sur un fond de ciel bleu,
Une Voie Lactée en son regard mystérieux.
La nuit laisse glisser son voile le long des fenêtres ;
Monsieur, Madame, s’ensommeille dans un profond bien-être,
La cheminée abandonnée avec sa flamme sentinelle.
Le silence souffle et s’engouffre dans ma ruelle,
La nuit laisse glisser son voile le long des fenêtres ;
Monsieur, Madame, s’ensommeille dans un profond bien-être,
La cheminée abandonnée avec sa flamme sentinelle.
Un oiseau bleu sur mon perchoir Pour la première fois, Ton regard bleu dans ma mémoire Et juste toi.
Un petit chat jouant sur une botte de foin Et mes souvenirs réapparaissent au loin. Un petit chat jouant sur une botte de foin Et mes souvenirs réapparaissent au loin.
Pareils aux grains de sable que la dune Abandonne au vent, Tous mes sentiments Semblent se réduire en poudre de lune
Je dédie ce poème à tous les soldats morts au combat et en particulier à ceux de la Guerre de Dix Ans! Le vent me porte ta dernière lettre, J’en bois chacun de ses mots, de tes mots, Je les bois assaisonnés de mes larmes qui Roulent jusqu’au coin de ma bouche ravie, Ravie par…
(Inspiré par la série de poèmes “La Mort” de C. Baudelaire) Ce sont ces passants désertés des rues, Voyageant chez eux pendant les repas, Vers leurs ambitions, terres inconnues,
M’adonnant aux coutumes conjugales Conjuguées avec ma coutumière, Dans l’élan de notre rythme frugal Claqua une retentissante affaire :
Des mots tirés au hasard d’un mikado Qui courent, qui courent au galop, Rugissant, Surgissant en cent sursauts Sur la feuille qui au vol les attrapera ;
Que les étoiles,
Dans mon désert de dunes tu te fais nuage triste
Et les voiles.