Dans la maison
Petite affaire
Grande révolution !
Elle
Petite effrontée
Lui
Doux matou
Qui malgré sa grandeur
Ne veut point s’imposer !
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de mon jardin , je vois un aussi beau paysage que personne ne croit des oiseaux qui chantent sur mon passage des arbres aussi grand
Il faisait chaud , les jours s’annonçaient beaux,
Elle était habillée d’une robe légère, elle revenait de son travail,
C’est aussi ce jour là , qu’elle le vit pour la première fois,
Son regard croisa le sien,
Elle crut entrevoir chez lui, un petit sourire sur ses lèvres,
Elle habitait le 3ème étage d’un immeuble
Elle savait que lui, il logeait juste au dessus d’elle,
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Il fait un mouvement en avant, met ses mains sur ses hanches,
Dès qu’il est debout, il sait que la machine se remettra en marche,
Il ouvre les volets , laissant les fenêtres s’ouvrir sur la nature,
Il prépare son petit déjeuner,
Laissant le bol s’endormir sur la table
Il part à la pêche , surveiller les truites qui se cachent sous les rochers,
Il est seul, il a perdu sa femme à l’automne dernier,
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Elle lui écrit des lettres d’amour,
Mais lui ne se sent pas du tout responsable de son amour
Alors il ne lui répond pas,
On dirait qu’ils ne parlent plus de la même chose,
Qu’ils n’ont plus le même dialogue,
Elle a pleuré toute la nuit,
Lui , il s’en fout, elle ne sait plus,
J’étais avec un garçon que je ne connaissais pas,
Il marchait avec moi, aussi vite que moi,
Nous étions côte à côte,
Puis il a voulu presser le pas
Alors moi j’ai fait pareil
J’ai cru qu’il cherchait à me dépasser,
Mais moi j’avais pas envie qu’il me dépasse,
Hirondelle, j’attends ta venue gazouilleuse, Hirondelle, où vas-tu ? Où es-tu ? Dis- le moi, Lorsque le vent te prend, ma belle voyageuse ; Ô comme j’aimerais m’envoler avec toi !
Voici l’aurore enfin ! Et son tendre visage Renaît à la lueur des pourpres du matin Et son corps enfantin de douce vierge sage Somnole, doucement, sous le drap de satin.
C’est un voyage initiaque
Au bord d’une plume
Histoire de mieux se connaître
Et de se retrouver
Plus près de soi-même
Un voyage difficile d’entreprendre
Sur la route
Réveille-toi grand-père Du sommeil éternel Extirpe-toi de cette allée austère Ou bien descends du ciel