Malentendu Dis moi ce qui t'est arrivé, Et pourquoi me traite comme cela, Comme si je n'étais qu'une traitresse de l'au-delà. Avant tu étaissi gentil que tu étais aimé. Tu étais si romantique avec moi, En te laissant là seul sans la jalousie!
Au pied de la porte Je me suis endormi Le couloir était sombre Et long Comme un boyau dans la nuit
Assis au bord de la rue, En attendant que quelqu'un vienne l'aider, Pour traverser, Il essayait de trouver sa canne qu'il avait perdue. Les enfants fesant une ronde,ne s'arrêtaient Pas de se moquer de lui.
De l'autre côté de l'horizon, où commencent les océans, Le soleil aux couleurs argentées,vient de se coucher. Quand le ciel s'assombrit,tu découvriras la magie,
Sur le marbre froid De la cheminée La pendule à mon sens Accuse du retard A moins que ma montre Ne soit en avance
Le cri de la champignonnière De tous ceux que j'ai perçus M'a paru Le plus affreux Le plus insoutenable Le plus douloureux
Il dégouline d'espoir Respire le bonheur Sourit de l'aube jusqu'au soir Il n'en veut jamais à personne Il excuse tout Il pardonne Sans juger Il tend toujours la joue
Depuis l'aube tremblante Des gouttes irisées Tombaient une à une De la voûte A l'aplomb du clocher
J'ai eu le coeur brisé Quand j'ai su que tu étais imaginaire Et que c'était moi qui t'avais imaginé Comme si tu nétais que du vent que l'on buvait dans un verre. Tu es mon meilleur ami mon amour, que tu soit réel ou non
Mon humeur il est vrai Me paraît bien morose Et si j’admets Que je ne suis pas à la fête Ce soir c’est que je me repose Et que de sombres pensées