Un moment magique, Dont une seconde merveilleuse, Un moment au bord de la mer, devant, Un soleil couchant, Le meilleur moment du coeur romantique, Auquel en marchant, je suis toute joyeuse,
Les mouettes rieuses Qui viennent du grand large Et volent majestueuses Au rythme des vagues et du grand vent Se posent souvent
Sans doute ne voulait-il pas Qu'on la lapidât Alors que son corps avait été pendu La tête en bas
Du fond de ma colère J'ai lancé violemment Le journal du matin Sur la table en marbre blanc
On tire à boulets rouges Sur le peuple ennemi Pour une étrange raison Nous n'entendons pas le canon Mais la terre tremble A longueur de journée Et chaque vibration
Hier je t'ai rencontré en marchant, Et j'ai découvert que tu étais spécial pour moi, Unique dans la vie, comme si je te connaissait depuis très longtemps. Tu as croisé mon regard et tu m'as souris comme un ange que je ne vois.
En longeant le canal ami Sur le chemin de halage J'ai croisé ce matin Lourds comme un mauvais parfum Des relents d'un autre âge Qui m'ont envahi
Tout est fini Vous pouvez aller Voir ailleurs si nous y sommes
Texte poétique : Auprès des eaux du Grau du roi Désenchantait un roitelet à couronne Englué dans un bourbier de désarroi Par trop de pensées qui déraisonnent Causé par un de ces oiseaux coureurs Bourreau des cœurs que rien n’émeut