Texte poétique : 65. De me savoir punit comme un écolier, Dans une retenue à écrire des pensées, Ne peut en aucun cas me laisser oublier, Que mes proches sont en partie passés. Car en ma mémoire ils demeurent vivants, En lettres d’or on peut lire à cœur ouvert,
Elle est constituée de flores, Et plein d'animaux carnivores. Quand tout sera plongé dans l'obscurité, Tu entendras des bruits étranges que tu en seras terrorisé. Tu verras des yeux féroces, Qui illumineront loin derrière les ronces.
Dès le matin,un soleil réchauffant, Venait percer les volets de la fenêtre en nous réveillant. Puis soudain un orage éclata,
Dans ta phyosonie, je vois, L'image de la bonté,de la gentillesse et non de la colère. Et je sens quelquefois,
Tout le monde aime le dauphin Car il est courageux, Et terrorise le requin. Et il est toujours heureux, Il se nourrit de poissons,
Sous un drap taché de sang, Sous un lit cachant un meurtre, Je m'étais caché en attendant, Que quelqu'un viennent me chercher.
Tendue entre le ciel et l’eau La voile rouge sang Emportait le bateau Vers la côte française
J’aurais voulu glisser Sur cette pierre En bordure de chemin Puis tomber jusqu’au fond du ravin
Vos plumes, Aussi belles qu'elles seront comme la vie, Emerveilleront toujours une folle envie.
Le silence est royal Et j’entends le garder A jamais je tairai Mes troublantes errances