Poésies contemporaines

Poésie Roobil Zahlinal

Un vent triste a soufflé,sur le parc désertique, Nous étions assis,le coeur prêt à crever, Tu vas me quitter et je te prie de ne pas m'oublier. Je ne pouvais croire qu'il y eût un chagrin identique.

Une heure, quand le rêve ne serait imaginaire, Et que l'infini soit si proche de nous, Je pourrai enfin te voir. Une minute,quand le passé reviendra vers notre ère, Et que les personne repréféreraient les houx, Je pourrai te serrer les bras et je pourrai y recroire. Une seconde, et une seule suffit pour voir…

Qu’y puis-je Lui dis-je S’il manque à cette heure S’il a rempli son cœur D’autres densités De nouvelles aigreurs De lumières issues D’horizons étrangers

Sur qui veilleraient-ils Ces anges de pierre tendre Ces figures d’argile Dorées à la main Ces croix blanches dressées Vers un ciel incertain

You are my best friend, But why are you leave me ?and, Why want you leave me? Why? This questions haunt me.

Il serait temps de m’arrêter De fixer du regard Le bosquet qui se perd Dans le brouillard De l’autre côté du canal  

Réalisation : www.redigeons.com - https://www.webmarketing-seo.fr/