Poésies contemporaines

Vos poémes

poeme maman

Maman,
Pour te dire que je t’aime
J’ai pris deux M à la crème
Deux A en chocolat
Et un petit N en nougat
M, A, M, A, N.Maman,
Il fallait bien que j’apprenne
À mon estomac gourmand
Comment s’écrit le mot MAMAN.

Que deviennent nos rêves perdus ?
Je te réponds par une pirouette!!Nos rêves semblent nourris de nous-mêmes pour vivre en toute liberté leurs propres vibrations;Offrant une parenté avec le principe même de la vie.Qu’est ce qui leur fait signe pour leur apporter tant de plénitude.Les rêves seraient -ils de la matière en mouvement en perpétuelle quête d’équilibre ? Nos racines plongent dans quelque chose de plus puissant.Du rêve à cette réalité palpable ,la frontière semblent si mince.

Nous irons donc arpenter les rues de Paris
Joyeusement comme une troupe en féérie.
Une forêt emmêlée nous absorbera
D’odeurs édulcorées : Paris y puisera.

Oui, car les végétaux envahissent les lieux
Ils s’implantent aux sols, gourmands, verts, délicieux.
Les racines côtoient les fondations ancrées
Se creusent dans les sillons bétonnés marqués.
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Il est un monde et un endroit
Que je n’veux q’mes enfants voient
Un monde ou règne le chaos
du terrorisme politicoIls y cultivent la terreur
A coup d’kalash ou de lois lâches
N’assumant pas leurs positions
En voulant nous prendre pour des cons
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ÉLOGE AU MOIS D'AVRIL

Avril, avril mon cœur chancelle…
Quand le printemps enfin m’appelle,
Afin qu’en spectateur j’assiste, ô ! Bonheur,
Grâce au soleil couleur de miel
A ton si doux réveil.

Que l’on soit bienséant au bord de l’océan,
En haut d’une montagne, au cœur d’une campagne,
Ou bien sur un sentier, méandre forestier,
Ou bien encore au pied du terril délaissé,
Noir et abandonné.

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poéme contemporain

J’ai l’âge de voir les choses avec tranquillité, mais dans l’intérêt de continuer à évoluer.
J’ai l’âge de caresser mes rêves du bout des doigts et de voir mes illusions se transformer en espoir.
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Une pensée saine

Un déclic, un son sourd qui pétrifie le temps ;
Toutes ces vies figées dans une insouciance,
Qui nous pousse à aimer, à croire qu’en chaque instant
Il y a de l’espoir, qu’il faut avoir confiance…

Un déclic, le son lourd des cris et de l’horreur ;
Toutes ces vies volées par quelques fanatiques
Qui nous poussent à haïr, saisis par la terreur.
Quand l’espoir semble mort, la peur a ses logiques…
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S’émanciper en s’initiant aux voyages insensés
Quêtes où l’objectif se perd dans la pratique du cheminement
Et où seul compte la rencontre avec les anges,
Vagabonds aériens.

En leur présence, j’abroge le temps et l’espace
Je cultive le précieux germe du silence
Et je perçois en mon être le chant du vent
Le bruissement des étoiles.
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