Poésies contemporaines

  En hommage à Witte Blok   Dans un coin de la ferme Qui sent le lait chaud Et la laine mouillée D'un vieux paletot Une vieille est assise Elle s'appelle Marie    

  Depuis tant d'années Qu'il est debout Le corps enfoncé Presque jusqu'aux genoux A deux pieds du pied D'un mélèze roux  

Nul ne pourra jamais prétendre A quelle profondeur Son corps gisera Tout dépend de la pointure Du fossoyeur Qui l'enterrera  

L’officier porte la main A son képi solennellement Il se tient Raide comme un i

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