face à face avec un problème,
qui à mon humble avis
n’était pas là par hasard.
Il me taquinait, me faisait tourner en rond,
me plongeait en plein coeur
d’inextricables autres problèmes,
tout ça avec un air de rien…
Comme par hasard
Tu te feras si petite Que tu tiendras dans un flacon Dans une boîte pour flocons De neige ou pour fard à paupières Dans un simple carton De canettes de bière
Qui dans
Le ciel
Se promène
Chasse une étoile
Chasse un nuage
Chasse le vent
Qui se déchaîne !
Oh ! Vous les impures, qui n’êtes plus vierges
Et qui osez exhiber, vos triangles de gazon.
Afin d’étouffer des noms de dieu de feux de cierges
A vous sentir submergées, de joie à l’unisson.
Oh ! Vous les démones séductrices, non obtus.
Vous qui partez en guerre, avec vos sains obus
Et entraînez tous ces jeunes taureaux en rut
A se défaire de leurs cornes tordues, de vertu.
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Méditerranée sans influente marée de ton fils devient l’éternelle Des réels mains se joignant pour s’élever à lui deviennent l’unique continent De cet montagne réunifiant les sources devient l’étincelle
Un nuage coincé Dans les gencives du ciel S'est mis à pleurer Ô la douleur cruelle
Lorsque le moment venu Il faudra que je te voie De plus près terre glaciale Ouvre-toi
En retard
Qu’est-ce que tu vas faire ?
Ya Ya
Et si la nuit
Se perd en route
Imagine bien
Quelle déroute !
Matin où la brume stagne, mon cœur est atrophié
Portail grinçant, étude d’une liste, appel sémantique
Il me souvient d’une cour où les lois ceignaient le néant
De pupitres éraflés, d’encriers par le buvard absorbés