J’ai trop luté contre mes sentiment Tu es ma vie, je t’aime et je me ment !
Poésies contemporaines
Une beauté est une femme que vous remarquez… Une femme charmante est celle qui vous remarque… . Adlaï STEVENSON
Pleine d’espoir
La beauté de la nature ne se manifeste
Que lorsque l’aube se décide à se montrer
Et quand le ciel rougit en voyant le Soleil arriver
Mon coeur, pour aimer, d’un seul geste,
Transforme l’enfer en un somptueux paradis,
Il y place la Joie, le Bonheur et la Belle Vie,
Et enferme le Mal, ses traîtres et ses partisans,
La beauté de la nature ne se manifeste
Que lorsque l’aube se décide à se montrer
Et quand le ciel rougit en voyant le Soleil arriver
Mon coeur, pour aimer, d’un seul geste,
Transforme l’enfer en un somptueux paradis,
Il y place la Joie, le Bonheur et la Belle Vie,
Et enferme le Mal, ses traîtres et ses partisans,
Il arrive parfois
Que dans les clameurs
Qui encombrent la ville
L’âme ou le cœur
Cherche à s’évader
Comme un oiseau
Que l’on voit s’envoler
Vers la rive opposée
C’est un fleuve goudronneux
Corrosif
Qui ressemble à tes yeux
Quand tu verses une larme
Un fleuve qui désarme
Les plus valeureux
C’est un fleuve incertain
Dubitatif
Ah le bonheur
Enfin retrouvé
La joie débordante
La paix rétablie
La haine abolie
Les harmonies vibrantes
Des cordes retrouvées
L’orchestre enfin
Courir et oublier :
Le souci, d’un geste de son corps m’a effleuré,
Et depuis, je n’ai qu’un seul souhait,
Celui de me cacher au fond des mers et ne plus exister,
Mais aussi voir mon nom disparaître à tout jamais…
J’ai si froid, mais pour défier le vent, je ne veux point me couvrir,
Je veux montrer au monde que je suis sur le point de mourir…
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Le souci, d’un geste de son corps m’a effleuré,
Et depuis, je n’ai qu’un seul souhait,
Celui de me cacher au fond des mers et ne plus exister,
Mais aussi voir mon nom disparaître à tout jamais…
J’ai si froid, mais pour défier le vent, je ne veux point me couvrir,
Je veux montrer au monde que je suis sur le point de mourir…
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La Réalité :
Un nouveau morceau de papier, de nouveaux mots et une nouvelle imagination,
Voilà leur règne qui s’étend sur mon territoire assoiffé de sang,
Voilà l’armée de mes pensées prête pour la vrai et absolue guerre…
L’on prend une inspiration de goût parfumée et ainsi commence…
La lancée vers la recherche du trésor, l’héritier de l’imaginaire…
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Un nouveau morceau de papier, de nouveaux mots et une nouvelle imagination,
Voilà leur règne qui s’étend sur mon territoire assoiffé de sang,
Voilà l’armée de mes pensées prête pour la vrai et absolue guerre…
L’on prend une inspiration de goût parfumée et ainsi commence…
La lancée vers la recherche du trésor, l’héritier de l’imaginaire…
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Feu mes jeunes années ont brûlé leurs étés
Qu’il me souvienne d’une note fugace
Jouée par un piano impétueux et juvénile
La colonie abhorrée d’un sceau brisa la glace
Une herbe folle grimpait les murs fissurés
D’une demeure sise rue des éperviers
Cette herbe folle s’essoufflait sur les espaliers
Un lierre sage, grave observait l’écervelée
D’une demeure sise rue des éperviers
Cette herbe folle s’essoufflait sur les espaliers
Un lierre sage, grave observait l’écervelée