Poésies contemporaines

Poèmes An Braz

Les jours rallongent, les nuits raccourcissent, Tu t’en vas plus tôt, tu reviens plus tard, Et toujours je suis là, et toujours je suis las De t’attendre, de décompter les rayons de soleil.

C’est un monde où rien ne passe, que le temps,

Le soleil brille ou ne brille pas, la lune aussi,

Et les hommes attendent, attendent d’inexistants passants,

Attendent que plie le banc sur lequel ils ne sont assis.

C’est un monde où rien ne passe, que le temps,

Le soleil brille ou ne brille pas, la lune aussi,

Et les hommes attendent, attendent d’inexistants passants,

Attendent que plie le banc sur lequel ils ne sont assis.

Lire la suite...

Once I was waiting, waiting about nothing,

Suddenly, a flowered dream invaded my brain,

So strong it was, it petrified all my things

And I wrote in this poem my new aim :

Once I was waiting, waiting about nothing,

Suddenly, a flowered dream invaded my brain,

So strong it was, it petrified all my things

And I wrote in this poem my new aim :

Lire la suite...

Le profond de ses yeux,

Une étoile en chacun d’eux,

Une galaxie sur un fond de ciel bleu,

Une Voie Lactée en son regard mystérieux.

Le profond de ses yeux,

Une étoile en chacun d’eux,

Une galaxie sur un fond de ciel bleu,

Une Voie Lactée en son regard mystérieux.

Lire la suite...

Le silence souffle et s’engouffre dans ma ruelle,

La nuit laisse glisser son voile le long des fenêtres ;

Monsieur, Madame, s’ensommeille dans un profond bien-être,

La cheminée abandonnée avec sa flamme sentinelle.

Le silence souffle et s’engouffre dans ma ruelle,

La nuit laisse glisser son voile le long des fenêtres ;

Monsieur, Madame, s’ensommeille dans un profond bien-être,

La cheminée abandonnée avec sa flamme sentinelle.

Lire la suite...

Un petit chat jouant sur une botte de foin Et mes souvenirs réapparaissent au loin. Un petit chat jouant sur une botte de foin Et mes souvenirs réapparaissent au loin.

soldat de plomb
0

Je dédie ce poème à tous les soldats morts au combat et en particulier à ceux de la Guerre de Dix Ans! Le vent me porte ta dernière lettre, J’en bois chacun de ses mots, de tes mots, Je les bois assaisonnés de mes larmes qui Roulent jusqu’au coin de ma bouche ravie, Ravie par…

des passants
0

(Inspiré par la série de poèmes “La Mort” de C. Baudelaire) Ce sont ces passants désertés des rues, Voyageant chez eux pendant les repas, Vers leurs ambitions, terres inconnues,  

Réalisation : www.redigeons.com - https://www.webmarketing-seo.fr/