Les jours rallongent, les nuits raccourcissent, Tu t’en vas plus tôt, tu reviens plus tard, Et toujours je suis là, et toujours je suis las De t’attendre, de décompter les rayons de soleil.
Le soleil brille ou ne brille pas, la lune aussi,
Et les hommes attendent, attendent d’inexistants passants,
Attendent que plie le banc sur lequel ils ne sont assis.
C’est un monde où rien ne passe, que le temps,
Le soleil brille ou ne brille pas, la lune aussi,
Et les hommes attendent, attendent d’inexistants passants,
Attendent que plie le banc sur lequel ils ne sont assis.
Suddenly, a flowered dream invaded my brain,
So strong it was, it petrified all my things
And I wrote in this poem my new aim :
Once I was waiting, waiting about nothing,
Suddenly, a flowered dream invaded my brain,
So strong it was, it petrified all my things
And I wrote in this poem my new aim :
Une étoile en chacun d’eux,
Une galaxie sur un fond de ciel bleu,
Une Voie Lactée en son regard mystérieux.
Le profond de ses yeux,
Une étoile en chacun d’eux,
Une galaxie sur un fond de ciel bleu,
Une Voie Lactée en son regard mystérieux.
La nuit laisse glisser son voile le long des fenêtres ;
Monsieur, Madame, s’ensommeille dans un profond bien-être,
La cheminée abandonnée avec sa flamme sentinelle.
Le silence souffle et s’engouffre dans ma ruelle,
La nuit laisse glisser son voile le long des fenêtres ;
Monsieur, Madame, s’ensommeille dans un profond bien-être,
La cheminée abandonnée avec sa flamme sentinelle.
Un oiseau bleu sur mon perchoir Pour la première fois, Ton regard bleu dans ma mémoire Et juste toi.
Un petit chat jouant sur une botte de foin Et mes souvenirs réapparaissent au loin. Un petit chat jouant sur une botte de foin Et mes souvenirs réapparaissent au loin.
Pareils aux grains de sable que la dune Abandonne au vent, Tous mes sentiments Semblent se réduire en poudre de lune
Je dédie ce poème à tous les soldats morts au combat et en particulier à ceux de la Guerre de Dix Ans! Le vent me porte ta dernière lettre, J’en bois chacun de ses mots, de tes mots, Je les bois assaisonnés de mes larmes qui Roulent jusqu’au coin de ma bouche ravie, Ravie par…
(Inspiré par la série de poèmes “La Mort” de C. Baudelaire) Ce sont ces passants désertés des rues, Voyageant chez eux pendant les repas, Vers leurs ambitions, terres inconnues,