Tu m’as couvert de ta protection, expression de ton amour océan
Protection paternelle qui conjuguait autorité et tendre affection
Par ces mots d’amour, je veux te dire mon estime et mon admiration
Merci mon père pour ta tendresse et les valeurs que tu m’as enseignées
Merci pour cette éducation équilibrée faîte d’attention et de respect
Que ce beau poème pour mon papa lui signifie ma reconnaissance
Ce tendre poème pour mon papa est écrit à l’encre de mon enfance
Enfance sucrée, Enfance sacrée dont il a dessiné le bonheur
Je suis ton enfant, toi et ma douce mère, vous êtes dans mon cœur
Poème Bonne fête papa
Pour toi ma plume écrit des mots d’amour aussi doux que le velours
Des mots de remerciement pour exprimer ma reconnaissance
Par toi, j’ai appris le sens de l’existence et celui de la patience
Bonne fête Papounet, ce sms te dit merci et que je t’aime pour toujours
Bisous de la part de ton fils !
Ce jour spécial est l’occasion de dire une fois encore à son paternel
Combien il compte pour soi, combien notre reconnaissance est belle
Ce jour spécial est l’occasion pour l’enfant de lui dire merci, merci
Lui dire Tu me manques tellement, Je pense à toi, encore milles mercis
Tous mes voeux ! Ta fille qui t’adore…
Poème A toi mon Père que J’aime
Depuis ma tendre enfance, tu es mon plus fort repère
Un être unique et magnifique, le meilleur des pères
Ton amour pour moi a été une force qui donne confiance en soi
Ton affection pour moi a rendu mon enfance plus douce que la soie
Tu es mon hier, si vivant dans mon présent, un guide pour l’avenir
Quand je pense à toi Papa, les pleurs montent avec les souvenirs
Merci pour ce que tu as été pour moi, un chemin de sérénité
Merci à Toi Grand Homme, le bonheur dans ma vie tu as semé
Ce poème d’hommage écrit pour toi est un océan de tendresse
Ma tendresse pour Toi mon Père qui m’as enseigné la sagesse
Rien ne pourra jamais effacer mon respect et ma reconnaissance
Jamais Je ne pourrais oublier ta patience et ta bienveillance
Merci pour Tout mon Père Je t’aime d’un amour éternel
Merci Papa, aujourd’hui, je marche sur tes pas de miel
Comment as tu pu toi ma mère
Passer à coté de moi une vie entière
Passer à coté de moi sans en avoir l’air ?
Comment as tu pu toi ma mère
Ne jamais plonger tes yeux dans les miens
De peur de te noyer dans mon chagrin
Tu as banni de tes nuits le chemin de mes jours
LE MUGUET
J’aimerais recevoir un peu de ce muguet
délicates fragrances
comblant mes espérances
un bouquet à cinq sous me semble fort coquet
le marchand débonnaire encaisse mes euros
dix sous et la facture
comptez.. pour être sûre
flatté mon vieux salon défroisse les rideaux
or ce muguet charmeur illumine mon toit
une, deux coccinelles
ravissantes donzelles
se posent sur le bord d’une clochette, émoi…
Raymonde verney
pour aujourd’hui je garderai le lit
elle me nargue avec ses airs bohêmes
ma muse crie et lance des injures
mais calmez-vous !quel serait le délit ?
soyons humains !mais CALLIOPE rit
la paresseuse aime les sinécures
grand philosophe en phrases exaltées
je réussis à calmer le dépit
je fais signer un curieux édit
ratifiant des odes écourtées.
raymonde verney
CONTE POUR MELODY
Un poussin s’est perdu la prairie est si vaste
sa liberté fort neuve étonne les oiseaux
Un lézard qui flanait semblait enthousiaste
Il voit un hérisson moqué par des moineaux
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Dans un champ étroit, très étroit,
Dans un champ long, très long,
Dans un champ pentu, très pentu
Toi, moi, vous, nous
Descendons. Lire la suite...
Jamais vous ne connaître La torture que peux endurer Une femme magnifique Pour éviter que votre destin soit tragique
épilogue d’un temps stupide et ennuyeux
vite !cueillons ces fleurs je me sens si heureux !
rencontre d’un LUTIN affublé d’une togeDans la verte FORET où le soleil déroge
Ce monde CHIMERIQUE a pourtant mille yeux
Un ELFE se promène oublieux de l’horloge
épilogue d’un temps stupide et ennuyeux
las !il me faut rentrer en douce vers ma loge
MAGIQUE ! ce moment ! je te fais mes adieux
Bientôt je reviendrai dans ce pays sulfureux
Un retour glacial il n’aura point d’éloge
Un ELFE se promène oublieux de l’horloge
épilogue d’un temps stupide et ennuyeux.
Raymonde verney