Poésies contemporaines

 La grosse Bertha N'est de loin pas morte Comme les feuilles qu'elle N'arrête pas de récolter Dans la cour pavée  

Armoires pleines à craquer De souvenirs malodorants Ouvrez-vous sans Que quiconque intervienne Nous nous réunirons  

Désespéré De ne plus étêter Depuis des lustres Le bourreau gravement S'interroge Une voix surgie  

Des ombres furtives Etirées par le soleil couchant Glissent à la surface Jaune ocre brillant De la coque du Paquebot de croisière Amarré de ce côté du quai  

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