Poésies contemporaines

jetais égarer, apeurer ,affoler dans les rues si seule je vagabonder portant comme seule armes sur le dos l'indéchirable poids de mon fardeaux  

je ne sais plus trop si je pianote pour que vous m'entendiez ou si ma bêtise se pâme de son propre écho, c'est si difficile de se voir de loin, d'avancer à reculons de fouiller dans une outre pleine de grimaces d'idées gâtées, de pertes de vues;

Je n’aime pas écrire et mes alexandrins S’écoulent de mes doigts ainsi qu’une eau de source ! Aurais-je donc vécu comme les malandrins A chercher une paix sans que cesse ma course ! Ainsi, la feuille blanche est comme ce couteau  

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