Espace exquis que cette pièce abandonnée
Mansarde sombre et mystérieuse du passé
Ou se retrouvent apprivoisées de vieilles histoires
D’enfants sérieux qui se construisaient dans le noir
Mansarde sombre et mystérieuse du passé
Ou se retrouvent apprivoisées de vieilles histoires
D’enfants sérieux qui se construisaient dans le noir
Et là, cachés, fantômes objets, vieillards sans âges
Dorment si fort qu’ils en soupirent dans ma mémoire
Espérant que les feuilles sèche tombent encore
Disparaissant du souvenir de mon miroir
Mon cœur, se cogne à ses parois si matérielles qui le retiennent
Il voudrait tellement te rejoindre
Recevoir en lui le sang de tes veines
Et battre dans ta poitrine
Il voudrait tellement te rejoindre
Recevoir en lui le sang de tes veines
Et battre dans ta poitrine
Mon Cœur…
J’arracherais le tient pour le faire disparaître
Que personne ne puisse plus le toucher
Je le cacherai dans mon âme secrète