Trois amis l’entouraient. C’était à l’Elysée, On voyait du dehors luire cette croisée. Regardant venir l’heure et l’aiguille marcher, Il était là, pensif ; et, rêvant d’attacher Le nom de Bonaparte aux exploits de Cartouche, Il sentait approcher son guet-apens farouche. D’un pied distrait dans l’âtre il poussait le tison, Et voici ce que dit…
Jouissez du repos que vous donne le maître. Vous étiez autrefois des cœurs troublés peut-être, Qu’un vain songe poursuit ; L’erreur vous tourmentait, ou la haine, ou l’envie ; Vos bouches, d’où sortait la vapeur de la vie, Etaient pleines de bruit.
Approchez-vous ; ceci, c’est le tas des dévots. Cela hurle en grinçant un benedicat vos ; C’est laid, c’est vieux, c’est noir. Cela fait des gazettes. Pères fouetteurs du siècle, à grands coups de garcettes Ils nous mènent au ciel. Ils font, blêmes grimauds, De l’âme et de Jésus des querelles de mots Comme à…
En ces temps-là, c’était une ville tombée Au pouvoir des Anglais, maîtres des vastes mers, Qui, du canon battue et de terreur courbée, Disparaissait dans les éclairs.
France ! à l’heure où tu te prosternes, Le pied d’un tyran sur ton front, La voix sortira des cavernes ; Les enchaînés tressailleront.