Lui qui sifflait si haut, son petit air de tête, Etait plat près de moi ; je voyais qu'il cherchait… Et ne trouvait pas, et… j'aimais le sentir bête, Ce héros qui n'a pas su trouver qu'il m'aimait.
C'est la mer : – calme plat – et la grande marée, Avec un grondement lointain, s'est retirée. Le flot va revenir, se roulant dans son bruit. Entendez-vous gratter les crabes de la nuit ?
Qu'ils se payent des républiques, Hommes libres ! – carcan au cou – Qu'ils peuplent leurs nids domestiques !… – Moi je suis le maigre coucou.
Vois aux cieux le grand rond de cuivre rouge luire, Immense casserole où le Bon Dieu fait cuire La manne, l'arlequin, l'éternel plat du jour. C'est trempé de sueur et c'est poivré d'amour.
Des coucous l'Angelus funèbre A fait sursauter, à ténèbre, Le coucou, pendule du vieux,
Ici reviendra la fleurette blême Dont les renouveaux sont toujours passés… Dans les coeurs ouverts, sur les os tassés, Une folle brise, un beau jour, la sème…
Non… Mon coeur te sent là, Petite, Qui dors pour me laisser plus vite Passer ma nuit, si longue encor, Sur le pavé comme un rat mort…
ousse : il est donc marin, ton père ?… – Pêcheur. Perdu depuis longtemps. En découchant d'avec ma mère, Il a couché dans les brisants …
J'ai laissé la potence Après tous les pendus, Andouilles de naissance, aigres fruits défendus ; Les plumes aux canards Et la queue aux renards…
Ils sont fiers ceux-là ! … comme poux sur la gale ! C'est à la don-juan qu'ils vous font votre malle. Ils ne sentent pas bon, mais ils fleurent le preux : Valeureux vauriens, crétins chevalereux ! Prenant sans demander – toujours suant la race, – Et demandant un sol, – mais toujours pleins de…