D'une amitié passionnée Vous me parlez encor, Azur, aérien décor, Montagne Pyrénée,
L'immortelle, et l'oeillet de mer Qui pousse dans le sable, La pervenche trop périssable, Ou ce fenouil amer
J'ai vu le Diable, l'autre nuit ; Et, dessous sa pelure, Il n'est pas aisé de conclure S'il faut dire : Elle, ou : Lui.
J'ai beau trouver bien sympathique Feu Loufoquadio, Ses Japs en sucre candiot, Son Bouddha de boutique ;
Industrieux fils de Dédale Qui ressuscitez dans Paris – Pourquoi, j'y entrave que dale – Tant de singes en vain péris ;
M. C. M. III. Dormez, ami ; demain votre âme Prendra son vol plus haut. Dormez, mais comme le gerfaut, Ou la couverte flamme.
Iris, à son brillant mouchoir, De sept feux illumine La molle averse qui chemine, Harmonieuse à choir.
Il pleuvait. Les tristes étoiles Semblaient pleurer d'ennui. Comme une épée, à la minuit, Tu sautas hors des toiles.
Géronte d'une autre Isabelle, A quoi t'occupes-tu D'user un reste de vertu Contre cette rebelle ?
" Ce tapis que nous tissons comme " Le ver dans son linceul " Dont on ne voit que l'envers seul " C'est le destin de l'homme.