Comme un flot expiré se sont tues.
Tes beaux desseins que tu prostitues,
O mon cœur, compte-les, si tu l’ oses.
Des détritus de bouquets de roses
Parfument les brises abattues.
Compte tes fiertés condescendues,
Et tes vains essors aux ailes closes.
Mais le doux ciel d’ une nuit d’ été