Les pieds nus de ma poésie
Ont peu de poids
Cherche la trace de ses pas
Sur cette eau tranquille
Comme un visage éclairé
Ont peu de poids
Cherche la trace de ses pas
Sur cette eau tranquille
Comme un visage éclairé
Toute puissance agenouillée
Chanson matinale
Il brille
Une étoile toute nouvelle
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Ton visage est le mot de la nuit étoilée
Un ciel obscur s’ouvre lentement dans tes bras
Où le plaisir plus vain que la flamme argentée
Comme un astre brisé brille et tremble tout bas
Un ciel obscur s’ouvre lentement dans tes bras
Où le plaisir plus vain que la flamme argentée
Comme un astre brisé brille et tremble tout bas
Vivante, conduis-moi dans ce nocturne empire
Dont l’horizon mobile enferme notre amour.
Je touche un paysage ; il s’éclaire, il respire
Et prend quelque couleur sans attendre le jour.
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A la limite de la lumière et de l’ombre
Je remue un trésor plus fuyant que le sable
Je cherche ma chanson parmi les bruits du monde
Je cherche mon amour au milieu des miracles
Je remue un trésor plus fuyant que le sable
Je cherche ma chanson parmi les bruits du monde
Je cherche mon amour au milieu des miracles
Un poème commence où la voix s’est brisée
Et je fais mon bonheur en dénouant tes mains
Quand nous nous rencontrons au bord d’une journée
Nouvelle, au bord de l’aube où le ciel nous rejoint
La maison de verre
Odilon-Jean Périer